RECETTES DE PRINTEMPS : le pissenlit
LE PISSENLIT
Au lieu de chercher à débarrasser votre jardin de cette plante, laissez là s'installer dans un endroit du jardin où elle pourra s'épanouir et montrer ensuite ses fleurs jaunes si reconnaissables. Il vous suffira de prélever à la saison du printemps quelques feuilles pour vos salades. Si vous ne connaissez pas la saveur amère, goutez donc ces feuilles.
PISSENLIT/SALADE
Elles sont un peu amères au printemps, plus tard dans la saison, elles le seront encore plus et beaucoup moins appréciées.... A agrémenter d'une vinaigrette à votre goût.
Afin de pouvoir continuer à profiter de ses bienfaits même lorsqu'elles deviennent amères, cuites elles ne le sont plus. Voici une recette.
OEUFS/PISSENLIT
Prélevez quelques feuilles au jardin ou à l'occasion de vos promenades (dans ce cas laissez quelques feuilles sur le pied afin de permetttre à la plante de continuer à respirer) .
Lavez-les quelque peu et les faire revenir à la poêle
Ajouter les oeufs, salez, poivrez à votre convenance
Dégustez
Au printemps, c'est le moment de drainer votre foie ; le pissenlit, le radis noir, l'artichaut peuvent y contribuer.
Ba Duan Jin ; sens des caractères, étymologie, symbolisme
Etude des idéogrammes ba, duan, et jin
l'idéogramme ba
Deux caractères d'écriture différente possédent la même transcription phonétique. Les voici :
1er proposition de traduction :
Les huit (ba) pièces (duan) de brocart (jin)
2ème proposition de traduction
Les huit (ba) de satin (duan) de brocart (jin)
Deuxième caractère dont la transcription phonétique est jin
Les deux sens possibles pour jin ; brocart et or ont ceci en commun, les fils d’or ou d’argent, (de métal précieux) utilisés pour les motifs brodés. Ces trésors nous font évidemment penser aux trois trésors de l’alchimie taoïste :
Jing, Qi, et Shen.
Ces trois trésors correspondent à une étape de la transformation intérieure selon la voie taoïste :
et retourne à la vacuité (xu)
Nous trouvons aussi qualifiés de trésors, une série d’objets rattachés au bouddhisme mais qui contiennent des objets de lettrés. Cette série de 14 objets (quatorze trésors ou trésors divers) étaient à l’origine composée de huit objets, nommés huit trésors ou huit objets précieux (ba bao), symboles de porte-bonheur.[4] Ces trésors sont utilisés comme motifs de décoration sur les objets de décoration (vaisselle, habillement, boites, théière …)
Voici ces 14 trésors :
Quelques uns de ces trésors sur cette assiette société céramique Maestrickt
3ème proposition de traduction :
Les huit (ba) morceaux (duan) précieux (jin).
4ème proposition de traduction
Troisième caractère dont la transcription phonétique est jin
5éme proposition de traduction :
Duan
Le sens des idéogrammes met fortement l’accent sur la fonction musculaire. L’action d’étirer et de briser peut s’agir de développer à l’extrême les qualités musculaires, force et souplesse.
-
La brillance de la soie
-
Les métaux précieux (or et argent)
-
Le rouge (associé au sang, aux muscles)
-
La force musculaire
Song jing
Song Jing appartient aux principes animant la pratique du taiji quan, les images contenues dans les idéogrammes exprimant cette notion peuvent nous aider à élargir notre compréhension de ce principe présent non seulement dans la tradition du taiji quan mais bien au-delà dans d'autres disciplines ou écoles.
Le caractère Song
Etymologie
Composé au-dessus de Biao signifiant cheveux longs et flottants (Wieger 113)
Et au-dessous de Song
signifiant conifères (Wieger 18) arbres verts en général (série phonétiques 380 Wieger)
Définition
Cheveux épars ; échevelé
Peu serré ; lâche ; détendu ; desserré ; détendre ; relâcher (Ricci 4590)
L’image de cheveux libres exprime l’idée de se mettre à l’aise, de se défaire, de déserrer des liens, de se délasser comme lorsque l’on arrive chez soi et que l’on se met « à l’aise ». L’idéogramme Song contient l’image d'un végétal toujours vert lié à l'élément bois, image de la jeunesse, de la souplesse et du début de la pratique.
Caractère Jing
Etymologie
Composé à gauche de Shui cours d ‘eau, eau (Wieger 12)
Et à droite de Zheng signifiant tirer en sens contraire ; se disputer ; lutter (Wieger 49)
Définition
Propre, pur, limpide, purifier, nettoyer, laver, dépouiller entièrement, vider, vide, nu, net
(Ricci 972)
Les caractères Song et Jing expriment donc deux notions ; tout d'abord le relâchement, il est obtenu par plus de naturel, par un retour à plus de spontanéité (l’image de cheveux défaits, libres) en deuxième nous trouvons l’action de l’eau ; nettoyer, vider, éliminer les tensions physiques et psychiques afin de favoriser l'action.
Wang Yen Nien a également utilisé l’expression suivante ;
Fang Song
afin d’exprimer cette même notion.
Fang signifie :
Paître faire paître, relâcher, lâcher, laisser aller, donner libre cours à (Ricci 1532)
Ici, l’association des idéogrammes Fang et Song exprime un renforcement du relâchement par le biais du doublement de caractères exprimant la même chose ou presque ; Fang Song c’est relâcher et relâcher encore ou plus simplement deux fois lâcher .
« Il faut être relâché jusqu'à ce que le corps soit vide de toute tension musculaire. La pensée, elle, reste vive. Si l’esprit est vif, mais le corps ni souple ni relâché, on ne peut dépasser les limites imposées par la force externe et physique » Wang Yen Nien extrait de « Concepts importants sur le tui shou »
Cette notion de relâchement n’est donc pas propre au taiji quan, nous le trouvons revêtu d’une aussi grande importance dans la tradition du Ling Bao Ming à travers un exercice issu des yi yin fa de cette école présentant quatre principes donc celui qui nous occupe : « Utiliser le minimum d’effort pour obtenir le maximum d’effet » Shi Ban Gong Bei [1] Ce premier principe est une porte d’entrée de la pratique, mais il ne s’agit pas uniquement d'une recherche d'une détente physique, Taisen Deshimaru parle du principe de Sutemi [2] qu’il présente comme le fait « d’ abandonner le corps et d’ abandonner l’esprit », c’est aussi pour lui l’oubli de l’ego. L’action s’effectue sans force physique ni mentale, le but semble s’évanouir pour aboutir à la conscience de l’instant, présent aux gestes, présent aux choses, à « l’ici et maintenant » cette force vécue dans l’instant présent est une des conséquences du relâchement physique et psychique.
Dans l’étude des "quatre principes" du Ling Bao Ming, le principe de « minimum d’effort pour résultat double » inaugure "l'enchaînement des quatres principes", il est suivi par le principe Bao Kuo "ici et maintenant" mis en relation avec un mouvement descendant relié au mouvement du métal, marqué par le dépouillement ; ce dépouillement c’est l’ego qui s’évanouit.
L’école Hakko Ryu a une proposition très proche de la précédente et place également ce « lâcher prise » en première lieu dans sa phase d’étude, il s’agit d’une maxime très semblable à celle du Ling Bao Ming, voici cette sentence :
La capacité de concentration d’énergie et d’action directe ; (3)agir avec moins d’effort pour plus d’efficacité, en bas de cet article le détail de ces principes.
Elle rejoint la formule favorite du créateur du judo (littéralement voie de la souplesse) ; Jigoro Kano qui était « Seiroku Zenyo » (meilleur usage de l’énergie) Ce principe est enraciné dans la pensée asiatique depuis bien longtemps, on en trouve trace dans un des textes les plus importants du taoïsme le Zhuang Zi, on attribue à Kung Fu Zi (Confucius) cette sentence en tout point semblable au principe commun des écoles du Hakko Ryu Ju Jitsu, du Ling Bao Ming et du judo.
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« Agir avec le minimum d’effort et obtenir le maximum de résultats, telle est la voix du saint »
En utilisant le minimum d’effort physique et mental, l’énergie circule mieux. La dureté, les tensions freinent la circulation de l’énergie. C’est pour cette raison que nous trouvons ce principe dans ces différentes écoles traditionnelles alliant martial et santé. L’idée consiste à utiliser l’énergie (Qi ou Ki en japonais) plutôt que la force (LI)
Terminons cette étude (plutôt cette ébauche ou introduction par rapport au sujet) par deux phrases et laissons les résonner en nous afin de nous amener ainsi à réfléchir à comment obtenir plus de relâchement dans notre pratique, la première est une déclaration de Koichi Tohei Sensei 10ème dan d’aikïdo rapporté par B.Bordas, la deuxième est de Zheng Manqinq le maître aux cinq excellences.
« L’attitude naturelle du corps est la décontraction, regardez les félins. Pour cela il faut que nous (l’esprit) soyons détachés. Si l’esprit se crispe, le corps se crispe. Le corps n’est que le reflet de l’esprit » Koichi Tohei
« Etudier le taiji c’est apprendre à se relâcher » Zheng Manqing
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Sources :
Bulletin de l’amicale du Yangjia michuan n°27
Caractères chinois L. Wieger
Dictionnaire français de la langue chinoise Institut Ricci
Yangjia Michuan taiji quan Tome 1 C.Jeanmougin Editeur Ecole Française de taiji quan
http://www.passion-ninjutsu.com/
A lire pour en savoir plus :
p 43-50 Les principes essentiels du taiji quan C.Jeanmougin GRDT
Annexe : Source SHIATSU MODULE 1 ARTEC P.JASINSKI

NOUVEL AN CHINOIS 2021
ANNEE DU BOEUF DE METAL
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Le point yong quan (yong k'iuan ou yong ts'iuan)
LE POINT YONG QUAN (1)
Sens de l'idéogramme Yong
Jaillir. Monter ; s’élever ; surgir (Ricci 5874) |
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Sens de l'idéogramme Quan
Caractère ancien : signifie une source qui jaillit de terre, et s’écoule en filet. Au centre, le jet qui sourd de terre. En haut, l’étalement. Sur les côtés, l’écoulement. |
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Caractère moderne : Source (pr. et fig.) ; fontaine (Ricci 1386) |
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le caractère moderne est une confection arbitraire
de eau |
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et de pure
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Ce dernier idéogramme, lui même composé de (2)
le soleil |
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le soleil qui point . Ce qui est figuré par une petite pointe au sommet. L’aube, alors que l’orient blanchit. Clarté, blancheur |
|
Au regard de ces divers éléments, yong quan fait naître l’image d’une eau pure et lumineuse issue de la terre. Cette lumière est semblable à celle qui émane d’une étendue d’eau éclairée par le soleil levant, blanche et brillante. Proposer “source bouillonnante” ou bien “fontaine jaillissante” comme traduction pour yong quan nous convient parfaitement puisqu'elles reflétent toutes deux la puissance, l'énergie et la pureté d'une eau de source. Il est à noter que l’eau apparaît dans les deux caractères, du reste zu shaoyin, le méridien des reins est également associé à l’élément eau.
Localisation
Dans le creux à la jonction du tiers antérieur et du tiers moyen de la plante du pied, dans un creux entre 2ème et 3ème articulations métatarso-phalangiennes, en mettant les orteils en flexion plantaire.
(1) Ce point est sollicité pendant la pratique des dao yin qi gong et du Yangjia michuan taiji quan, plus particulièrement sur les mouvements dits d'ouverture quand le mouvement se génère vers le haut.
(2) voir Wieger leçon 88
Sources :
Caractères chinois Wieger Taichung
Précis d'acupuncture chinoise Editions Dangles
Le point lao gong ou lao kong
Ce point est sollicité dans la pratique du dao yin qi gong en fonction de techniques particulières :
-
massage,
-
concentration sur le point (appelé psychopuncture par G.Edde)
-
position de la main (paume du dragon)
Sens des idéogrammes
Lao |
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travailler à la lumière, la nuit, peiner, se fatiguer d’une manière extraordinaire (Wieger 126) |
Gong |
|
|
Localisation du point Lao gong (maître du cœur 8)
- Au milieu de la paume, entre médius et annulaire, les doigts étant fléchis touchant le métacarpien[1]
- Entre le 2ème et me 3ème métacarpien, là où la pointe du médius touche la face palmaire lorsque le poing est fermé. Propriétés : apaise le cœur, calme la force spirituelle (le Shen), refroidit le sang et arrête l’hémorragie, diminue les œdèmes, soulage les douleurs[2]
Indications thérapeutique du point lao gong selon Sun Simiao[3]
Bouche amère, bouche sèche, chaleur de la bouche, chaleur de la paume des mains, colère joie et tristesse, diabète, douleurs du coude, douleurs de la gorge, Dysphasie, engorgement de la région thoraco-costale, et claviculaire, éructations incessantes, esprit songeur, exsudat purulent dans la bouche et haleine fétide, Hématémèse, hémorroïdes dues à la chaleur, ictère avec yeux jaunes, inversion du souffle, maladies « chaudes » avec agitation de l’esprit mélancolie et absence de sudation chaleur dans la paume des mains cardialgie corps brulant de fièvre agitation douleur de la base de la langue, maladies « chaudes » contractées depuis trois jours sans avoir pu provoquer la sudation, nausées et vomissements, rit sans cesse, selles continuellement sanguinolentes, vent et chaleur. (Excusez du peu !)
C’est sur cette même zone que la main prend appui lors de l’utilisation d’outils, cette zone est fortement sollicitée lors d'un travail manuel. C’est aussi là que l’on s’appuie (sur un manche d’outil afin de se reposer) attitude qualifiée péjorativement de « position du cantonnier ».
Bibliographie
Atlas illustré d’acupuncture H.F Ullman
Méditation et santé Gérad Edde
Précis d’acupuncture chinoise Editions Dangles
Prescriptions d’acupuncture valant mille onces d’or traité d’acupuncture de Sun Simiao du VIIème siècle
[1] Précis d’acupuncture chinoise Editions Dangles
[2] Atlas illustré d’acupuncture H.F Ullman
[3] Médecin du VIIème siècle
Le WU QIN XI Du Docteur Hua Tuo
« Quant au médecin Hoâ-t’ouo, qui finit centenaire vers l’an 220 de l’ère chrétienne, sa biographie est répétée deux fois dans l’Histoire. Il éclipsa l’ancien Piên-ts’iao. Il eut certainement connaissance de procédés exotiques, indiens, peut-être grecs. Il pratiquait l’acupuncture, appliquait des moxas, faisait des incisions hardies, après avoir préalablement narcotisé le patient au moyen d’une infusion de chanvre (chanvre indien, haschisch). Il tirait ainsi toutes les humeurs peccantes ; extrayait, rafistolait, rinçait les viscères ; recousait et appliquait une pommade merveilleuse, qui ressoudait les lèvres de l’incision en cinq jours de temps. L’histoire raconte en détail les plus abracadabrants de ses diagnostics. Il faisait vomir à ses malades, pour leur consolation, des couleuvres, des poissons, des insectes ; ce qui donne à penser qu’il était prestidigitateur, et suggestionnait les névrosés, tout comme nos aliénistes modernes. »
Extrait des TEXTES HISTORIQUES
Histoire politique de la Chine
TOME II
Léon WIEGER S. J.

Les annales des Hans postérieurs (25-220apJC) relatent que le docteur Hua Tuo (111-208) aurait créé une série de mouvements imitant des animaux appelée le Wu Qin Xi (jeu des cinq animaux) Dans cet extrait de sa biographie, Hua Tuo s'adresse à son disciple Wu Pu :
« Le corps a besoin de mouvements modérés. En le remuant et le balançant de droite et de gauche, le souffle issu des céréales est convenablement réparti et assimilé. Le sang circule bien, et les maladies ne peuvent pas naître. Il en est du corps humain comme du gond d'une porte qui ne rouille jamais. C'est pourquoi les taoïstes pratiquaient des mouvements gymniques (dao yin) Ils imitaient les mouvements de l'ours, faisaient mouvoir toutes les articulations et les passes du corps afin d'éviter le vieillissement. J'ai moi-même une technique appelée jeu des cinq animaux (wu qin xi) c'est-à-dire le tigre, le cerf, l'ours, le singe et l'oiseau. Elle permet d'éliminer les maladies et d'accroître le bon fonctionnement des membres inférieurs. Dès qu'un désordre est ressenti dans le corps, il convient d'exécuter le jeu d'un animal jusqu'à transpiration. Si l'on transpire beaucoup, il convient de s'enduire le corps de poudre. Après cela, le corps devient léger, vigoureux et l'appétit revient »
WU QIN XI Synthèse de plusieurs écoles | ||||
BOIS | FEU | TERRE | METAL | EAU |
Tigre | Léopard ou Dragon ou Serpent ou Cerf | Ours | Grue ou Cigogne ou Aigle | Singe |
WU | ![]()
| Les deux principes yin et yang, produisant les cinq agents, entre le ciel et la terre | (Wieger 39)
|
Caractères anciens | |
![]()
| Cinq ; signe numérique. Cinq agents naturels (quatre bras et le centre)[1]
|
![]()
| On ajouta deux traits, pour figurer le ciel et la terre
|
Remarquons l’influence des cinq agents ou cinq mouvements au vu de l’importante liste en rapport avec les cinq éléments, excusez du peu, (voir Ricci 5559) :
- Les cinq vertus
- Les cinq dynasties
- Les cinq préceptes bouddhistes
- Les cinq livres classiques ; Yi Jing, livre des Odes, Canon des documents, Mémoires sur les rites, Chronique de la principauté de Lu.
- Les cinq souillures (bouddhisme)
- Les cinq animaux domestiques
- Les cinq viscères
- Les cinq points cardinaux
- Les cinq classes de deuil
- Les cinq bonheurs
- Les cinq peines
- Les cinq planètes
- Les cinq éléments
- Les cinq lacs et les quatre mers
- Les cinq céréales
- Les cinq douleurs
- Les cinq relations sociales
- Les cinq péchés (bouddhisme)
- Les cinq couleurs
- Les cinq notes
- Les cinq pouvoirs surnaturels (bouddhisme)
- Les cinq saveurs
- Les cinq désirs (bouddhisme)
- Les cinq pics
QIN ![]()
| Animaux sauvages Oiseaux ; volatiles
| (Wieger 23) |
Arrêter ; saisir, capturer | (Ricci 954) | |
QIN ![]() SHOU ![]()
| oiseaux et quadrupèdes (animaux) | (Wieger 23) |
Xi ![]()
| jouer |
(Ricci 1791 |
[1] On peut le voir également comme une figure représentant un observateur placé au centre, regardant devant soi, derrière, sur sa gauche et sur sa droite.